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» 1ère Zélatrice de la Garde d'Honneur
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La 1ère zélatrice de la Garde d'Honneur

Mère Marie DELUIL-MARTINY

 
 

Bienheureuse Mère Marie de Jésus

 

« La sainte Marie de Marseille »
 
 
 
A l’âge de 23 ans, Marie entre en contact avec le monastère de la Visitation de Bourg-en-Bresse où vient d’être fondée la « Garde d’Honneur du Sacré-Cœur de Jésus ». Elle devient la propagatrice de l’œuvre auprès des communautés religieuses et paroisses de Marseille. Pour la consécration de la Basilique de Notre-Dame de la Garde (le 5 juin 1864), n’a-t-elle, pas composé son poème pour le triomphe de l’Église dont Marie est Reine ? Elle le lit devant toute l’assemblée. Et le lendemain, tous les évêques réunis dans une maison amie demandent leur adhésion dans la Garde d’Honneur.
Marie Deluil-Martiny seconde encore Sœur Marie du Sacré-Cœur Bernaud, Visitandine fondatrice de cette confrérie de prière, pour la rédaction et la diffusion des éléments de propagande. C’est ainsi qu’elle se rendra à Bourg plusieurs semaines chaque année, et profitera de ces voyages pour séjourner quelques jours à Paray-le-Monial.
 
Refusant le mariage que lui propose ses parents, Marie se donne totalement à Dieu le premier vendredi de mai 1867 – elle a alors 26 ans – et quelques mois plus tard, elle fait vœu de virginité perpétuelle. Le 29 novembre 1867, Dom Comboni (canonisé le 5 octobre 2003) lui dit ces paroles singulières : « Vous avez une mission à remplir ; vous devez toujours vous considérer en vous-même comme en étant indigne ; mais vous avez une mission et vous avez commencé à la remplir en propageant la Garde d’Honneur ».
 
 
 

 

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Saint du jour
15 Juin
Fête du jour : Germaine
Réflexion journalière
« Tirer une parole...la garder dans son coeur »

Moi, c’est Moi le Seigneur, et en dehors de Moi, il n’y a pas de sauveur.
Is 43, 11
Actualité du moment

 

 Ô mon Jésus, 

Remplis de confiance 
et d’amour,
nous venons
à votre Cœur,
ô Jésus,
comme au cœur
du meilleur des pères,
du plus tendre
et du plus
compatissant
des amis.
Recevez-nous,
ô Sacré Cœur,  
dans votre infinie
tendresse,
faites-nous
ressentir les effets
de votre compassion
et de votre amour;
montrez-vous
notre appui,
notre médiateur
auprès de
votre Père.
Au nom de votre sang
et de vos mérites,
accordez-nous
la force
dans nos faiblesses,
la consolation
dans nos peines,
la grâce de vous aimer
dans le temps
et celle de vous posséder
dans l’éternité.

  Ainsi soit-il.